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Mon voyage ornithologique du mois Août 2015 a été d’une richesse inespérée avec des observations de nombreux superbes oiseaux. Parmi ces observations quelques unes étaient inattendues… et l’observation de l’Aigle huppé (Nisaetus cirrhatus) a été remarquable, méritant la création d’une galerie.
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Le Noir & Blanc en photo c’est laisser une part d’imagination et de mystère… C’est rendre le « lecteur » de la photo plus actif car il doit se faire ces propres couleurs. C’est aussi jouer sur les contrastes comme on peut rarement le faire en couleur. C’est un peu aussi revenir aux sources des grands photographes du XXème siècle. Alors des oiseaux en N&B pour magnifier mes modèles je ne pouvais y échapper…
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Dans la vie du photographe animalier il a des instants magiques que l’on recherche : l’observation d’une nouvelle espèce, d’une espèce rare ou un moment de vie des oiseaux. Avec le nourrissage des poussins de Grand Martin (Acridotheres grandis) j’ai vécu un de ces instants.
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Durant mon séjour ornithologique en Thaïlande (Bird watching in english please) j’ai eu l’occasion d’observer deux espèces de Cormoran asiatique… des oiseaux communs en Asie mais j’ai un amour immodéré pour le regard du Cormoran à cou brun.
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Comment surprendre son guide ornithologue pour qu’il comprenne à quel genre de photographe hurluberlu il a a faire…
Durant mon récent voyage ornithologique en Thaïlande où j’ai découvert plus de 150 espèces d’oiseaux j’avais un guide ornithologue et son assistant, tous deux thaïlandais, qui étaient aux petits soins pour moi… même trop.
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Le tec-tec (ou Tarier de Bourbon) est un petit passereau endémique de la Réunion qui a déjà sa galerie dédiée sur mon site. Mais je prends toujours autant plaisir à photographier ce petit curieux qui accompagne les randonneurs.
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Le Noddi brun et l’île de la Réunion : une histoire commune méconnue. En effet autant les réunionnais connaissent les espèces comme le paille-en-queue (Phaéton à brins blancs principalement), le tec-tec (Tarier de Bourbon), le tuit-tuit (Echenilleur de Bourbon), le papangue (Busard de Maillard) et maintenant le taille-vent (Pétrel de Barau, grâce au travail incessant de sensibilisation de la SEOR), autant le Macoua ou Noddi brun ou Noddi niais (Anous stolidus) est méconnu du plus grand nombre.
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Il y a des oiseaux que je suis tout au long de l’année à la Réunion mais je n’avais jamais eu l’occasion de photographier le repas du tisserin gendarme appelé Bellier ici.
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Lors de monde dernier séjour à Madagascar j’ai eu la joie d’observer à plusieurs reprises le plus grand rapace endémique de Madagascar : le Pygargue de Madagascar (Haliaeetus vociferoides) qui mesure jusqu’à 1,8 mètre d’envergure pour 3.5 kilo est le seul aigle pêcheur de la Grande Île.
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Encore un oiseau très photogénique : la huppe fasciée malgache (Upupa marginata) et sa crête érectile de plumes roussâtres à l’extrémité noire et son long bec gracile est reconnaissable au premier regard.
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